20-03-2020 Des discussions constructives autour des chasses collectives.

C’était avant le confinement. On pouvait encore se rassembler pour discuter et travailler....

Aussi, une fois encore, la Fédération Départementale des Chasseurs de l’Aveyron a invité 22 chefs de battues, à venir s’exprimer sur la chasse collective. Une fois de plus tous ont répondu présents. Pour mémoire, la Fédération souhaite donner la parole a ses chasseurs et invite tous les 15 jours 22 chefs de battues, en provenance des 22 unités de gestion que compte le département pour parler de la chasse, de ce qui fonctionne et de ce qui ne fonctionne pas.

Ainsi, tour à tour, tous les directeurs de chasse collective sont appelés à s’exprimer et à dire sans filtre tout ce qu’ils pensent de leur loisir et de son évolution. Cette deuxième édition fut à l’image de la première, un très bon moment d’échange et de partage.

La Fédération, sous la houlette de la commission grand gibier composée d’Éric Rieutort, Jean-François Alary, André Daudé et Jean-Marie Rayssac appelle de ses vœux à ouvrir le dialogue avec ses chasseurs. Pour Le Président Jean-Pierre Authier : « Nous souhaitons qu’un maximum de chefs de battues puissent s’exprimer, nous voulons apprendre d’eux et avec eux pour améliorer la chasse collective ». Comme l’explique Eric Rieutort : « A l’issue de cette seconde édition nous avons pu nous rendre compte que des éléments revenaient assez régulièrement, mais aussi que chaque situation était singulière par certains aspects ». Jean – François Alary a tenu à souligner toute l’importance de travailler avec les jeunes chasseurs, de leur ouvrir les portes et de les laisser accéder aux postes à responsabilité et surtout d’encourage tous les jeunes piqueurs.

Malheureusement, le covid-19 a mis temporairement un terme à ces réunions. Restons positifs, elles reprendront. D’ailleurs, pour rattraper le temps perdu elles reprendront sur un rythme plus soutenu.

Du côté de la Fédération on ne manque pas d’idée puisque demain, l’équipe souhaitent également inviter les piqueurs à s’exprimer.

Vivement la fin du confinement.